Pourquoi est-ce que je me pose autant de questions, et comment faire pour arrêter ?!

Et tous ces gens que j’ai pu crois­er; qui avait l’air de vivre leur vie tran­quille­ment sans se pren­dre la tête, sans réfléchir. Est ce que je serai plus heureux.se si j’ar­rê­tais de me pos­er des ques­tions ?
Ou pire, ceux qui sont dans des sit­u­a­tions claire­ment prob­lé­ma­tiques, surtout en cou­ple, mais qui refusent de pren­dre le temps et le courage de regarder leur réal­ité en face.
Est-ce qu’au final, ils n’ont pas rai­son ?
Se pos­er des ques­tions, est-ce vrai­ment la recette d’une vie plus heureuse,? Ou, au con­traire, la source de nos prob­lèmes et de nos empêchements ?

La ques­tion “devrais-je arrêter de me pos­er des ques­tions pour être heureux.se et com­ment faire ?”, est sou­vent venue à mon esprit au cours des vingt dernières années. Est-il néces­saire d’en arriv­er là ?

Ne pas se poser de questions = crise de la quarantaine/cinquantaine assurée ?

Le fait est que je reste per­suadée que la vie nous ren­voie un jour ou l’autre dans la fig­ure nos prob­lèmes. Même si on a choisi de pass­er 20 ans à faire comme s’ils n’existaient pas .
Et quand ça arrive, ça risque de faire mal. Genre, 20 ans de prob­lèmes accu­mulés, t’imagines le truc !

Pour­tant, je suis assez cer­taine que la clas­sique crise de la quar­an­taine, ou cinquan­taine, arrive typ­ique­ment chez des gens qui n’ont passé aucun moment de leur vie à se pos­er les ques­tions. Qui se sont con­tentés de repro­duire les sché­mas,. De faire ce qu’on attendait d’eux, autant au niveau sen­ti­men­tal qu’au niveau pro­fes­sion­nel.
Et un jour, cet énorme mur se dresse devant eux, et les voilà con­traints de le regarder dans le blanc des yeux. Et le plus sou­vent, ils pren­nent la suite.

Parce qu’ils con­tin­u­ent à ne pas vouloir se pos­er de ques­tion­s­mais comme leur sit­u­a­tion est quand même insup­port­able, ils se met­tent dans une cer­taine forme d’action.

Mon engagement envers moi-même

Alors voilà, mon engage­ment envers moi-même : je décide que la crise de la quar­an­taine ou de la cinquan­taine ne me con­cern­era pas ! Com­ment ? Eh bien, je suis dans une forme de « mini-crise » per­ma­nente; où je me ques­tionne sur ce que je suis, ce que je veux, ce que je fais. Et je me dis que c’est l’assurance d’être tou­jours alignée avec soi-même et d’éviter l’explosion façon bou­quet final dans quelques années.

De toute façon, mon cerveau sem­ble for­maté pour se pos­er des ques­tions en per­ma­nence. Et ça, je ne peux rien y chang­er.
Alors, j’utilise cette fonc­tion­nal­ité pour me ques­tion­ner, mais aus­si avancer. Car à l’inverse, le doute et le ques­tion­nement per­ma­nent qui ne sont pas suiv­is d’actions ne sont pas plus productifs !

Et toi, tu t’es déjà dit que tu te posais trop de questions ?

Voir plus d'articles dans la catégorie :

podcast

Self Love Project - Le Podcast

Instagram

Suivez @selfloveprojectfr

241313859_896448271278521_4070947245461769255_n
257159065_3040825976169317_7449840064367531153_n
270245123_4659797307450057_294670125220718298_n
previous arrow
next arrow